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| Jean-Marc Léger |
| Biographie | Citations | Aperçus | Oeuvres | Documentation | Documents associés |
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| Biographie en résumé |
| Journaliste, haut fonctionnaire international et national (Québec), conseiller en relations internationales, intellectuel engagé, homme de culture, défenseur infatigable de la langue française, Jean-Marc Léger est l'un des fondateurs, méconnu, de la Francophonie, à côté des Senghor, Diori et Sihanouk. |
Jean-Marc Léger
Photo: Denis Chalifour, MCC |
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| > L'AUPELF | |
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| > L'Union culturelle française | |
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| > Un pionnier de la Francophonie | |
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| Oeuvres |
Livres:
Le temps dissipé - Souvenirs, Éditions Hurtubise-HMH, Montréal, 2000, 474 p, Présentation sur le site de l'éditeur. Recension par Alain Gariépy, Revue d'histoire de l'Amérique française, vol. 54, no 4, 2001 (format PDF); Louis Cornellier, «Visions du Québec», Le Devoir, 11 juin 2000 (2000)
Vers l'indépendance? Le pays à portée de main (1993)
La Francophonie, grand dessein, grande ambiguïté (1987)
Afrique française, Afrique nouvelle (1958)
Articles:
«Vers une guerre en Irak. La puissance impériale et la nouvelle croisade», Le Devoir, Montréal, 4 février 2003. (2003)
"La Francophonie : une grande aventure spirituelle" dans Francophonie et Commonwealth, Québec, Presses de l'Université Laval, Centre québécois des relations internationales, 1977. (1977)
«Pour l'aménagement d'un ordre culturel international», Éthiopiques, numéro spécial «70e anniversaire
du Président L. S. Senghor», novembre 1976 (diffusion sur internet) (1976)
«Une responsabilité commune», Esprit, novembre 1962 («Le Français, langue vivante»). (diffusion sur internet) (1962)
Articles publiés dans la revue québécoise L'Action nationale
Articles reproduits sur le site Vigile.net
Archives:
Fonds Jean-Marc Léger (P599). – 1947-2000. – 1,60 mètre de documents textuels. –
env. 120 photographies.
Le fonds d'archives correspond pour l'essentiel aux diverses étapes de la carrière de
Jean-Marc Léger, aux professions qu'il a successivement exercées et aux fonctions
qu'il a remplies ou aux missions qu'il a accomplies dans chacune d'elles. Il s'agit
principalement du journalisme, de la fonction publique nationale, de la fonction
publique internationale: essentiellement la francophonie, et en dernier lieu, de la
direction du Centre de recherche et de la Fondation Lionel-Groulx.
Les documents témoignent de la place considérable qu'occupent les affaires internationales,
la langue française et la francophonie aussi bien dans les activités du journaliste
que dans celles du haut fonctionnaire national et international. Il témoigne
également de la reconnaissance par de nombreuses institutions, nationales et internationales,
de l'apport de Jean-Marc Léger dans ces domaines de prédilection.
ARCHIVES NATIONALES DU QUÉBEC, Centre de Montréal, de Laval,
de Lanaudière, des Laurentides et de la Montérégie, 535, avenue Viger Est,
Montréal, QC, H2L 2P3 (www.anq.gouv.qc.ca).
Passage tiré de : Donald O'Farrell, «Chronique d'archives», Revue d'histoire de l'Amérique française, vol. 55, no 2, automne 2001 (format PDF).
Conférences:
L'ambition des pionniers de la Francophonie. Conférence prononcée lors du colloque "Francophonie au pluriel", organisé à l'occasion de la célébration du dixième anniversaire de L'Année francophone internationale (Paris, du 17 au 20 mai 2001) (2001)
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| Documentation |
| Articles | | Cornevin, Robert (1919-1988), "Jean-Marc Léger, pionnier de la francophonie", Culture française, no 4, hiver 1969, p. 3-5 (1969) | | «Une responsabilité commune», Esprit, no spécial «Le Français, langue vivante», novembre 1962, p. 564-571. (diffusion sur internet) (1962) |
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| | Au service du Québec | | Stéphane Stapinsky | | Léger (Jean-Marc):Biographie, Fonction publique | | Jean-Marc Léger a oeuvré à quelques reprises, au cours de sa carrière professionnelle, dans la haute fonction publique québécoise. |
| | | | Les années d'apprentissage | | Stéphane Stapinsky | | | Dans ses souvenirs, publiés en 2000, Jean-Marc Léger évoque avec beaucoup de verve son enfance dans un famille de condition modeste, à cheval entre la ville et la campagne. |
| | | Projet d'union française spirituelle étudié à Paris | | Jean Gachon | | | « En octobre 1953, Jean-Marc Léger avait l’occasion d’exposer à des personnalités politiques françaises dont le ministre des Affaires étrangères, M. Georges Bidault, puis le président de la République, M. Vincent Auriol, l’idée de la création éventuelle d’une Union culturelle française pour des fins de connaissance mutuelle, de dialogue des cultures et de promotion de la langue commune.» |
| | | Souvenirs de la première conférence de Niamey | | Jean-Marc Léger | | Agence de coopération culturelle et technique, Francophonie (institutions de la), André Malraux | | Nous étions environ trois cents, ce matin du 17 février 1969, dans la (modeste) salle des séances de l’Assemblée nationale du Niger, pour la séance inaugurale de la première conférence des pays entièrement ou partiellement de langue française, selon l’appellation officielle. C’était une réunion de niveau ministériel (ministres de la Culture ou de l’Éducation, dans la majorité des cas) : elle intervenait dix-sept ans avant la première conférence au sommet de la Francophonie (Paris, février 1986). Il faisait très chaud malgré les nombreux et bruyant ventilateurs (...) |
| | | Un journaliste tourné vers le monde | | Stéphane Stapinsky | | Léger (Jean-Marc):Biographie, Journalisme | | D'un point de vue chronologique, c’est d’abord dans le journalisme que Jean-Marc Léger fera sa marque. Dès ses années universitaires, il en aborde les rives. En effet, (... |
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