C'est d'abord au sein d'associations de nature professionnelles que Jean-Marc Léger s'investira dans le combat francophone. Ainsi, il occupera, de 1955 à 1959, les fonctions de secrétaire général, puis, de 1959 à 1961, de président de l'Union canadienne des journalistes de langue française. Il sera également, de 1960 à 1962, président de l'Association internationale des journalistes de langue française, de 1960 à 1962.
En 1961, il sera l'un des initiateurs de l'Association des universités partiellement ou entièrement de langue française (AUPELF), première grande organisation non gouvernementale d'institutions de langue française. Il en sera la cheville ouvrière, en tant que secrétaire général, de 1961 à 1978.
Alors que se met en place, à la fin des années soixante, une francophonie inter-gouvernementale, Jean-Marc Léger mettra sur pied et animera depuis Paris, de 1969 à 1974, l'Agence de coopération culturelle et technique (ACCT).
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