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Aperçus divers |
Fracture numérique et marginalisation des femmes en Afrique | MOTTIN-SYLLA, Marie-Hélène, "Fracture numérique de genre en Afrique francophone: une inquiétante réalité", Enda tiers-monde, Dakar, 2005, disponible en ligne sous forme de document pdf «[Notre recherche suggère], à l'encontre de l'idée trop souvent répandue, que les TIC ont largement pénétré tous les aspects de la vie quotidienne de la grande majorité des populations d'Afrique francophone de l'Ouest et du Centre, et non seulement la seule élite des capitales.
Nous avons voulu mesurer la fracture numérique de genre interne à ces pays, c'est-à-dire établir selon quelle ampleur les femmes de ces pays subissent une marginalisation additionnelle, et dans quelle mesure les questions de genre sont prises en considération dans le secteur des TIC. (...) Schématiquement, les femmes sont pénalisées des deux-tiers en terme de participation à la décision, d'un tiers dans le domaine des contenus et des capacités, et d'un dixième en terme d'accès et d'accessibilité. Globalement, les femmes ont un tiers de chances en moins que les hommes de bénéficier d'avantages escomptés de la société africaine de l'information.»
| La « fracture numérique » existe-t-elle ? | «La " fracture numérique " existe-t-elle ?», Éric Guichard, INRIA - ENS, 4 septembre 2003 (traduction française de l'article "Does the 'Digital Divide' Exist?", Amsterdam, 2003) Ce texte (...) commence par une analyse des discours relatifs à la notion de « fracture numérique » : quels que soient leurs auteurs (politiciens, experts du G8, militants), ces discours utilisent essentiellement deux ingrédients : le déterminisme technique et la confusion entre l'information et son support. Ensuite, on évalue la qualité et les fonctions des mesures de cette « fracture numérique » : celles-ci servent avant tout à légitimer a posteriori cette dernière, et à émettre des préjugés grossiers sur les nations et les sociétés à partir d'un seul indicateur, le pourcentage d'internautes de chaque pays. Enfin, on rappelle les potentialités de l'écriture numérique, et les connaissances requises pour en tirer parti. Celles-ci sont sans surprise liées aux formes traditionnelles de capital (économique, social, intellectuel). Par suite, les personnes qui profitent des capacités mentales offertes par l'informatique sont peu nombreuses. Derrière cette prétendue « fracture » et son remède (les investissements dans l'équipement), on découvre alors une profonde ségrégation cognitive consécutive à la diffusion des systèmes d'écriture numérique.
| Rompre l'isolement grâce à Internet | Pascal Renaud , "Rompre l'isolement grâce au réseau des réseaux", Un exemple burkinabé, le Monde diplomatique, février 1996, Page 25 (consulté le 21 août) C'est en 1992, avec la préparation de la conférence de Rio sur l'environnement, que le réseau [Ortom] acquiert une nouvelle dimension. (...) Peu vont l'exploiter, mais l'idée commence à faire son chemin dans les ONG. Une dizaine d'établissements se raccordent au réseau. L'Orstom s'associe alors à la toute jeune Ecole supérieure d'informatique (ESI) créée à Ouagadougou par M. Johachim Tankoano afin d'ouvrir le domaine Internet bf.
| Arobase | Parution au Journal officiel : 8 décembre 2002 «Ce glossaire reprend les termes publiés au Journal officiel par la Commission générale de terminologie et de néologie, en application du décret n° 96602 du 3 juillet 1996 relatif à l'enrichissement de la langue française.»
«Arrobe, arobase, n.f. : Caractère @ fréquemment employé dans les adresses de courrier électronique pour séparer le nom identifiant l'utilisateur de celui du gestionnaire de la messagerie. @ est à l'origine le symbole de l'arroba (de l'arabe ar-roub, "le quart"), ancienne unité de capacité et de poids espagnole et portugaise. Ce sigle est également utilisé dans les langues anglo-saxonnes, dans des formules telles que "tant de tel article @ tant l'unité". Dans ces emplois, il est appelé "a commercial", et son tracé, identique à celui de l'arroba, résulterait de la ligature de l'accent grave avec le a de la préposition française à, autrefois d'usage courant dans le commerce international. Lorsqu'une adresse est fournie oralement, @ se dit "arrobe" alors qu'il se dit "at" en anglais.
Terme en anglais : at-sign.»
| La mémoire des Acadiens sur Internet | Pierre Pichère, Le net, lieu de mémoires, revue en ligne Sociétés de l'information, N°26, Mémoire des hommes, mémoire des ordinateurs, Avril 2006, p.5 «Dispersé (sic) par les soubresauts de l'Histoire à travers le monde, les Acadiens ont investi le web pour faire vivre leur mémoire. Loin de la nostalgie, Internet devient un moyen d'entretenir le sentiment d'appartenance au-delà de l'histoire commune.»
| Sommet mondial sur la société de l'information | Communiqués de presse UIT «Les institutions des Nations Unies coordonneront la mise en œuvre du plan d'action du SMSI
Genève, le 20 juillet 2006 — La mise en œuvre des résultats du récent Sommet mondial sur la société de l'information (SMSI) s'est accélérée avec la création du Groupe des Nations Unies sur la société de l'information (UNGIS). »
«Lors du Sommet, les délégués ont fixé des objectifs fondamentaux pour, d'ici à 2015, parvenir à une connectivité mondiale et mettre les TIC au service du développement. Ils ont également formulé onze grandes orientations pour atteindre les objectifs de la société de l'information. Il en résulte un plan précis à l'intention des gouvernements, du secteur privé, de la société civile, de l'Organisation des Nations Unies ainsi que d'autres organisations internationales pour la mise en oeuvre et le suivi aux niveaux national, régional et international.»
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Gouvernance francophone d’Internet | "La Francophonie à l'épreuve de la gouvernance d'Internet", Meryem Marzouki, Cécile Méadel Hermès, n°40 (numéro spécial : Francophonie et mondialisation). Octobre 2004. CNRS Éditions, Paris. p.228-232 (document pdf) «(...) ceux qui veulent saisir là l'occasion de faire d'une "gouvernance francophone d'Internet" plus qu'un mot d'ordre ou un vain combat contre l'essor de la langue dominante. L'objectif pourrait prendre la forme d'un laboratoire explorant et expérimentant de nouvelles manières de conduire des politiques, en faisant parler les hommes et les choses, en multipliant les instances plutôt que de les rabattre sur un seul lieu, en favorisant la diversité des modèles et des normes. Il y a en particulier dans le système de gestion des noms de domaines un défi que la Francophonie pourrait relever en promouvant un modèle original fondé sur la diversité, composé de plusieurs systèmes de gestion des noms de domaine.»
| Qu'est-ce qu'un télécentre? | Etta, Florence et Sheila Parvyn-Wamahiu (sous la direction de), Technologies de l'information et de la communication pour le développement en Afrique volume 2: L'expérience des télécentres communautaires, CODESRIA/ CRDI, 2005 (introduction) Le programme Acacia du CRDI a été mené par des pionnier en intégration des TIC en Afrique. L'un des moyens qu'ils ont mis en oeuvre pour réduire la fracture numérique consiste à rassembler des ressources communautaires dans un télécentre, dont voici leur définition:
«Un télécentre est une structure intégrée d'information et de communication qui dispose d'une combinaison de TIC, à la fois nouvelles et anciennes (télévision, vidéo, télécopie, téléphone, ordinateurs avec accès à Internet et parfois des livres). Ce type de structure où plusieurs TIC différentes sont installées et utilisées de manière intégrée est considéré comme étant le télécentre moderne. Il est aussi appelé télécentre multiservices. Cependant, il existe quelques différences au niveau de la forme, des installations et des services accessibles dans les télécentres, allant du simple télécentre avec juste un ou deux téléphones et sans accès à Internet, au télécentre équipé de plusieurs téléphones, télécopieurs, imprimantes et ordinateurs connectés à Internet. Les télécentres assurent au public l'accès à l'information et à la communication pour parvenir au développement économique, social et culturel. C'est aussi une passerelle d'accès aux services de télécommunication et d'information dans le but d'atteindre un ensemble d'objectifs liés au développement. La notion d'accès universel, qui est basée sur l'Article 19 de la "Déclaration universelle des droits de l'homme", a favorisé l'extension des services d'information et de communication à tous les individus sans discrimination. Les télécentres sont considérés comme de puissants instruments dans la lutte pour l'accès à l'information, en particulier dans les pays et les milieux pauvres.»
| Révolution du direct | Dufresne, Jacques, Un grand défi encyclopédique pour la Francophonie, Ière partie, Encyclopédie de la Francophonie. «Jusqu'à la fin du XXe siècle, le citoyen ordinaire devait s'en remettre à des intermédiaires dans les activités les plus importantes de sa vie: les professeurs pour accéder au savoir, les journalistes pour accéder à l'information, les avocats pour obtenir justice, les médecins pour recouvrer la santé, les députés pour participer au pouvoir politique, les courtiers pour faire fructifier ses économies, etc. [...]
Réduit jusque là au rôle de lecteur et de spectateur, il peut, grâce à Internet, devenir auteur, éditeur et producteur. La démocratie directe, disparue à jamais après l'expérience athénienne, redevient ainsi possible. L'hétérarchie remplacera-t-elle la hiérarchie, la coordination horizontale remplacera-t-elle la coordination verticale?»
| Cargo cult ou réseau mondial? | J. Howkins et R. Valantin (sous la direction de), Le développement à l'âge de l'information, Quatre scénarios pour l'avenir des technologies de l'information et des communications, CRDI 1997, 88 pages En juin 1996, un groupe se réunissait en atelier pour réfléchir à l'avenir de la société de l'information mondiale.
La communauté mondiale s'ouvrira-t-elle ou se fragmentera-t-elle? Les pays en développement réagiront-ils de manière active ou réactionnelle à l'avènement des TIC?
À partir de ces deux questions, quatres scénarios sont proposés: « La nef des fous »: développement stagnant, freiné par la division et la vue à court terme, « Le cargo cult »: dépossession progressive des pays moins développés; « Le réseau des blocs »: tour de babel résultant de l'incapacité de s'unir au niveau international, et « Le réseau mondial », où les politiques tireraient parti des TIC pour soutenir et faciliter le développement.
Douze ans plus tard, lors du prochain sommet de la francophonie, pourront-elle contribuer à l'analyse de du réseau mondial?
| Cartiérisme | Article de Anrdé R. Lewin, ancien ambassadeur de France Le "Cartiérisme" symbolise désormais - et pas seulement en France - l'hostilité à l'aide au Tiers-monde. Dès 1963, le rapport Jeanneney estime que "l'aide à l'Afrique doit rester prioritaire, mais non pas exclusive". C'est en mars 1964 que paraissent dans "Paris-Match" les articles que Raymond Cartier consacre, sous le titre "Attention ! La France dilapide son argent", à pourfendre l'aide aux pays en voie de développement, et notamment à l'Afrique. Commencée sous Raymond Triboulet avec le slogan "La Bretagne plutôt que le Dahomey", la "guerre des deux Raymond" continuera sous son successeur Jean Charbonnel, par ailleurs maire de Brive en Corrèze, ce qui transformera le slogan en "La Corrèze avant le Zambèze".
| Le réseau de journaux Médiaf | Liste des membres du réseau Médiaf «Ils sont neuf journaux d'Afrique, du Maghreb et de l'Océan indien à lancer Médiaf. Toutefois, le réseau, comme son nom l'indique, a l'ambition d'accueillir, au cours de son évolution, tous les médias francophones du Sud. Le choix des journaux fondateurs de Médiaf, dont une brève présentation suit, se veut le reflet de la diversité géographique et de la pluralité de la presse du Sud d'aujourd'hui.»
| Liberté de presse, classement 2006 selon Reporters sans frontières | Reporter sans frontière, Classement mondial de la liberté de presse 2006 La France, les Etats-Unis et le Japon perdent encore des places ; Haïti et la Mauritanie progressent rapidement. Le Bénin occupe le 24e rang, Maurice le 33e , la France le 37e, le Mali le 38e.
«Reporters sans frontières publie aujourd'hui son cinquième classement mondial de la liberté de la presse. Alors que les pays les plus répressifs restent les mêmes, de nouveaux Etats se glissent en tête du classement, devançant souvent les démocraties occidentales.
"Malheureusement, rien ne change chez les pires prédateurs de la liberté de la presse dans le monde. Les journalistes nord-coréens, érythréens, turkmènes, cubains, birmans ou chinois paient de leur vie ou de leur liberté le fait de vouloir nous informer, a déclaré Reporters sans frontières. Ces situations sont extrêmement graves et il est urgent que les dirigeants de ces Etats acceptent la critique et cessent de réprimer systématiquement les médias de la manière la plus violente".
"Chaque année, de nouveaux pays de l'hémisphère Sud gagnent des places et se positionnent devant des Etats européens ou les Etats-Unis. C'est une bonne nouvelle qui prouve, une fois de plus, que même très pauvres, des pays peuvent se montrer particulièrement respectueux de la liberté d'expression. En revanche, la lente mais constante dégradation de la situation aux Etats-Unis, en France et au Japon nous inquiète au plus haut point", a ajouté l'organisation. »
| Démocratie en ligne | OCDE, Promesses et limites de la démocratie électronique, Les défis de la participation citoyenne en ligne, 2003, 178 pages, page 33. Le rapport de la Commission gouvernementale sur la démocratie suédoise (2000) [...] souligne la nécessité d'accroître la participation des citoyens au développement de la société au XXIe siècle par le moyen des TIC:
« Les technologies de l'information peuvent également servir à renforcer la société civile et à promouvoir la démocratie participative. Elles sont à même d'élargir les possibilités offertes aux citoyens de participer à la formulation et à la discussion des problèmes et d'exercer leur influence avant que les décisions soient prises par les assemblées élues.[...] »
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Politique d'accès à Internet en Tunisie | Marrakchi, Maledh, "Sécurité, stabilité, développement : les moteurs de l'avenir", allocution prononcée lors du Forum 2005 de l'OCDE, 5 pages, p.4
M Marrakchi est directeur général au Ministère des Technologies de la communication en Tunisie «Consciente du rôle central de l'Internet dans l'œuvre de développement économique et social, la Tunisie s'emploie au développement tout azimut de l'accès à l'Internet pour tous. C'est ainsi que tous les établissements d'enseignement secondaire, universitaire et de recherche scientifique ont été connectés à Internet. La connexion de la totalité des écoles d'enseignement de base, est en cours et sera finalisée avant l'année 2006. Un accès à l'Internet sur tout le territoire, et pour toutes les communautés est offert dans un premier temps à travers 380 espaces publics communautaires ; un nouveau programme a été décidé pour la mise en place d'ici 2009 d'un espace public d'accès à l'Internet dans chaque village.»
| Le télécentre, un nouveau lieu de palabres | La jeunesse africaine face à la fracture numérique in Agora n°26 - 4è trimestre 2001-Les jeunes dans la société de l'information - édition l'Harmattan Liste des travaux réalisés par Pascal Renaud (Chercheur à l'Institut français de la recherche scientifique pour le développement en coopération (Orstom)) pendant la période 1992 - 2002 et concernant le développement de l'Internet en Afrique et dans les pays en développement.
Parmi ces travaux: La jeunesse africaine face à la fracture numérique in Agora n°26 - 4è trimestre 2001- Les jeunes dans la société de l'information - édition l'Harmattan
«La fracture numérique est d'autant plus vivement ressentie que les promesses sont multiples et séduisantes. L'achat d'un ordinateur est une dépense très lourde que seul un pourcentage infime des ménages peut s'offrir. De plus, celui-ci devra être renouvelé tous les quatre à cinq ans. Les stratégies commerciales des grands éditeurs de logiciels qui cherchent à accélérer l'obsolescence des machines renforcent encore le fossé numérique. La pénurie de lignes de téléphone, la mauvaise qualité de service des opérateurs, le coût élevé des communications et l'absence d'offre commerciale forfaitaire ajoutent encore des difficultés.
La solution la plus adaptée au contexte des pays en développement est et restera encore longtemps, le télécentre multimédia ou « cybercafé ». Sylvestre Ouédraogo[4] de l'association YAM PUKRI qui fait la promotion d'Internet au Burkina-Faso, considère même que l'accès mutualisé à Internet, s'inscrit dans la tradition africaine. On partage le télécentre, source d'information, comme le point d'eau, il alimente le village et devient un nouveau lieu de palabres. »
| Wikipedia ou le maoïsme numérique | Guillaud, Hubert, Collectivisme en ligne ou intelligence collective
, Internetactu. «Jaron Lanier, spécialiste de la réalité virtuelle, a récemment publié un article intitulé "Le maoïsme numérique : les dangers du nouveau collectivisme en ligne". Il s'en prend à l'idée, selon lui induite par l'attention que l'on porte à Wikipédia par exemple, selon laquelle ce qui est collectif est nécessairement "sage"»
| Espace public francophone | Wolton, Dominique, Demain la francophonie, Flammarion, Paris, 2006. «Créer enfin un espace public francophone! Il n'y a pas d'espace public politique francophone en France. Et même dans le monde, même à Montréal, Bruxelles, Alger, Dakar, Hanoï... Les initiatives, pas plus que les débats, ne sont visibles. Rien que des annonces officielles, à minima, qui donnent le sentiment étrange d'une grande famille unanime. Unanime à 63 pays... Il est urgent de créer un espace de discussion contradictoire. Les publics seraient peut-être plus intéressés s'ils comprenaient les enjeux et les controverses. On demande de s'intéresser à la mondialisation sans avoir beaucoup de prise sur elle, alors même que la francophonie, et les autres aires culturelles, sont des leviers de connaissance et d'action. Il faut expliquer les positions opposées, travailler sur les représentations et les stéréotypes, les rapports entre culture et communication. Affronter les conflits et les paradoxes au sein de la francophonie. Accomplir à la fois un travail de connaissance et de journalisme. Il n'existe pas de réelle presse francophone, et la francophonie, en dehors des actes officiels, est quasi absente dans les presses nationales. Et ce n'est pas en réduisant la francophonie à son fonctionnement institutionnel que l'on créera une demande plus forte. Celle-ci existerait à condition d'accéder à une francophonie plus ouverte, plus contradictoire. Toutes ces ambiguïtés sont autant révélatrices de la France, que de la francophonie. Tout est trop lisse, officiel. Où est la société civile, où sont les militants ? »
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Documentation |
Livres | Rathgeber, Eva M. et Edith Ofwona Adera (sous la direction de), L’inégalité des sexes et la révolution de l'information en Afrique, CRDI, 2002, 280 pages, disponible en ligne sur le site du CRDI
«Les essais de ce livre portent sur l'incidence actuelle et possible de l'explosion des TIC en Afrique. Ils se penchent principalement sur les problèmes liés à l'inégalité des sexes et analysent la mesure dans laquelle les besoins et les voeux des femmes sont comblés. Les auteures insistent sur la nécessité de satisfaire le besoin d'information en l'appliquant directement au contexte des femmes en milieu rural, que ce soit dans les domaines de l'agriculture, de la santé, de la micro-entreprise ou de l'éducation.» (2002) | Brunet, Patrick, Oumarou Tiemtoré et Marie-Claude Vettraino-Soulard, Les enjeux éthiques d'internet en Afrique de l'Ouest, Vers un modèle éthique d’intégration, CRDI/L'Harmattan/Les Presses de l'Université Laval, 2002, 182 pages, disponible en ligne
«l’approche suivie dans le cadre de ce projet a été d’étudier en quoi le développement d’internet soulève des enjeux d’ordre éthique qu’il convient d’identifier en vue de permettre une meilleure appropriation et intégration dans le cadre général du développement des pays africains. (...)»
Les enquêtes ont été réalisées dans cinq pays d'Afrique de l'Ouest, dont le Burkina Faso, la Côte d’Ivoire et le Sénégal. (2002) | Ogbu, Osita et Paschal Mihyo (sous la direction de), African Youth on the Information Highway, Participation and Leadership in Community Development, CRDI, 2000, 130 pages, disponible en ligne (anglais)
«Cet ouvrage décrit une nouvelle initiative qui vise à promouvoir la participation des adolescents dans la nouvelle économie de l’information de l’Afrique. On y passe en revue l’infrastructure existante, le contexte des politiques et son impact, ainsi que la faisabilité d’applications accrues des TIC dans les collectivités rurales.» (2000) | Lefebvre, Élisabeth et Louis A. Lefebvre, Information and telecommunication technologies, The Impact of their Adoption on Small and Medium-sized Enterprises, CRDI, 1996, 140 p. disponible en ligne (version anglaise)
Livre portant sur l'intégration des NTIC dans les petites et moyennes entreprises (PME): impact sur la productivité, sur la concurrencialité et enjeux critiques. (1996) | Allocutions | Charlier, Jean-Émile, et Sarah Croché, «Les universités africaines francophones et l’espace mondial de l'enseignement supérieur en construction». Communication présentée dans le cadre du colloque « Développement durable : leçons et perspectives», Ouagadougou, 1er-4 juin 2004 (format PDF). (diffusion sur internet) (2004) | Sanou, Salaka, «De la diffusion de l’information scientifique dans les universités africaines francophonies : le cas de l’Université de Ouagadougou». Communication présentée dans le cadre du colloque « Développement durable : leçons et perspectives», Ouagadougou, 1er-4 juin 2004 (format PDF). (diffusion sur internet) (2004) | Bibliographies | Choix de liens sur la société de l'Information du CIFDI (Carrefour International Francophone de Documentation et d'information) | Documents officiels | Duvernois, Louis, Pour une nouvelle stratégie de l'action culturelle extérieure de la France : de l'exception à l'influence, Rapport d'information n° 91 (2004-2005) du 1er décembre 2004 - par M. Louis DUVERNOIS, fait au nom de la commission des Affaires culturelles, partie III, B, a, (1) TV5, la chaîne de la francophonie (2004) | Société de l'information : Contribution de la Francophonie (Conférence ministérielle sur la société de l'information, 4 et 5 septembre 2003, Rabat, Maroc). (2003) | Documents visuels | Eurostats publie différents tableaux de données sur l'usage des télécomunications en Europe. Voir la section "Société de l'information". (version française non fonctionnelle lors de notre consultation du site) On peut lire également le numéro de Statistiques en Bref sur la Fracture numérique en Europe (document pdf), publié en 2005 par le même organisme. | Dossiers | Sur ce site du Centre d'études des médias (CEM) de l'Université Laval , on trouve des portraits à jour de six grands secteurs de l'industrie au Québec: la presse quotidienne, la télévision, la radio, distribution de radiodiffusion, les magazines et la presse hebdomadaire. La section Internet n'est pas à jour. (2006) |
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Techniques / Technologies |
| Le défi Internet | Jacques Dufresne | Souverainté, diversité culturelle, radio, télévision, culture, éducation | FranceMonde ou FrancophonieMonde? La Francophonie va-t-elle s'enfoncer dans une nouvelle lutte de pouvoir alors que s'offre à elle une occasion unique de relever dans l'enthousiasme le grand défi Internet? |
| | La Francophonie c'est Facebook | Jacques Dufresne | | Essayez donc de rassembler autant de francophones, 4 millions et plus, pour discuter avec eux de leur culture commune et des menaces qui pèsent sur elle. |
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Médias | Année francophone internationale | Actes du Colloque Francophonie au pluriel tenu à Paris en mai 2001 à l'occasion de la célébration du dixième anniversaire de L'Année francophone internationale. Le programme est divisé en trois axes: "Quelle francophonie? Quelle diversité culturelle? Quelle information dans l'espace francophone?"
On a exprimé le souhait que l'institution de la Francophonie se recentre sur ses origines (les fondateurs de l'ACCT portaient cet élan de coopération) et consolide les liens avec les personnes, tant dans ses actions pour assainir les relations Nord-Sud, que dans son ouverture à toutes les minorités. | Afrik.com | Le journal en ligne Afrik.com a été créé en avril 2000 par des journalistes issus de la presse écrite, de la radio et de la télévision avec une passion commune : le continent africain et sa diaspora.
Depuis, Afrik.com est devenu leader de l'information en ligne du continent africain vers le reste du monde. Une édition quotidienne a été développée et déclinée sur 52 portails pays, ainsi que des rubriques thématiques telles que l'Economie, la Culture, la Musique, les Voyages, la beauté, l'art…
Aujourd'hui, le site a une audience mensuelle d'un demi-million d'internautes et 4 millions de pages vues. | Sociétés de l'information | Revue de diffusion gratuite.
«Sociétés de l'information décrypte chaque mois les enjeux des réseaux pour un public francophone, désireux de trouver une information synthétique, globale d'une thématique de la gouvernance Internet. » | ONG | Penser pour agir | «Penserpouragir a pour but de rassembler des contenus utiles pour le développement et de les rendre accessible aux acteurs du développement local. » | Cyberpop/Bombolong | «Dans sa configuration actuelle, Cyberpop est un réseau de réseaux articulés entre eux dont le point fort est le centrage sur les réseaux sociaux, humains et techniques constitués par les dynamiques populaires. L'ensemble est articulé autour de la stratégie de la production de contenus endogènes et de systèmes d'information pertinentes et utiles pour la lutte contre la pauvreté par le développement local.» | Organismes internationaux | Fonds francophone des inforoutes | Au cours du dernier exercice, 5 projets pour la production de contenus francophones numériques, dont 2 initiatives émanant de jeunes, ont été retenus pour financement par le Fonds francophone des inforoutes pour un montant global de près de 401 700 euros. | Fonds de solidarité numérique | Le siège social de ce Fonds international est à Genève. «Au 31 décembre 2005, le FSN s'élève à 5'354'444 euros.
Fondation de financement , le Fonds n'entend pas s'engager dans l'élaboration et la mise en œuvre de projets conçus par ses propres organes. Ne voulant pas davantage financer de grandes infrastructures, il se concentre sur des projets communautaires structurants, s'inscrivant dans une politique nationale donnée et visant la demande insolvable afin de créer de nouvelles activités, de nouveaux emplois et, à terme, de nouveaux marchés.
Au 31 décembre 2005, le FSN s'élève à 5'354'444 euros.» | Union internationale des télécommunications | «L'UIT, dont le siège est à Genève (Suisse), est une organisation internationale du système des Nations unies au sein de laquelle les Etats et le secteur privé coordonnent les réseaux et services mondiaux de télécommunication. » | Centre sur les politiques internationales des TIC Afrique du Centre et de l'Ouest (CIPACO) | «Le CIPACO est mis en place afin de renforcer les capacités des acteurs pour une meilleure participation à la prise de décision internationale en matière de TIC.»
«Deux éléments essentiels de la stratégie du CIPACO sont : le renforcement et l’harmonisation des initiatives régionales et le renforcement des capacités.» | International Telecomunication Union | «Principale institution des Nations Unies chargée des questions relatives aux technologies de l'information et de la communication, l'UIT est l'instance mondiale où pouvoirs publics et secteur privé se rencontrent pour développer les réseaux et les services.
Cet organisme est notamment l'instigateur du Sommet mondial sur la société de l'Information. | Recherche | Centre francophone d'informatisation des organisations | « Le CEFRIO (Centre francophone d'informatisation des organisations) est un centre de liaison et de transfert qui regroupe près de 160 membres universitaires, industriels et gouvernementaux ainsi que 51 chercheurs associés et invités. Sa mission : aider les organisations à être plus productives et à contribuer au bien-être des citoyens en utilisant les technologies de l'information comme levier de transformation et d'innovation. En partenariat, le CEFRIO réalise partout au Québec des projets de recherche, d'expérimentation et de veille stratégique sur l'appropriation des TI. Ces projets touchent l'ensemble des secteurs de l'économie québécoise tant privé que public. Les activités du CEFRIO sont financées en majeure partie par ses membres et par le gouvernement du Québec, son principal partenaire financier.» (source : site web du CEFRIO) | Rapport 2006 de l'UIT sur le Développement des télécommunications/TIC dans le monde | Peut-on véritablement accélérer le développement social et économique à l'aide des TIC? C'est le thème central de ce rapport, publié par l'Union internatinoale des télécommunications à la suite du Sommet sur la société de l'information.
On y fait le point sur l'accessibilité et l'usage des TIC dans le monde.
Le résumé du rapport peut être téléchargé gratuitement. | Sommet mondial sur la société de l'information (2005, Tunis) | «L'Assemblée générale de l'Organisation des Nations Unies a approuvé la tenue du Sommet mondial sur la société de l'information (SMSI) en deux phases, dont la première a eu lieu à Genève (Suisse), du 10 au 12 décembre 2003 et la seconde à Tunis (Tunisie) du 16 au 18 novembre 2005.» «A la phase de Tunis, presque 50 Chefs d'État ou de Gouvernement et Vice-présidents et 197 Ministres et Vice-ministres de 175 pays, ainsi que d'éminents représentants d'organisations internationales, du secteur privé et de la société civile ont apporté un appui politique à l'Engagement de Tunis et l'Agenda de Tunis pour la société de l'information.» | Sites gouvernementaux | Portail de l'État français en matière de société de l'information | Dossiers et statistiques sur Internet et la société de l'information en France. Le site est géré par le Service d’Information du Gouvernement | | Association francophone des utilisateurs de Linux et des logiciels libres | «L'AFUL a pour principal objectif de promouvoir, directement ou indirectement, les logiciels libres et notamment les systèmes d'exploitation libres comme GNU/Linux, ainsi que l'usage des standards ouverts. L'AFUL est une association loi 1901 qui regroupe des utilisateurs, des professionnels du logiciel libre, des entreprises commerciales ainsi que d'autres associations, installés dans une dizaine de pays ou de régions francophones (France, Belgique, Suisse, Québec, Afrique francophone).» (extrait du site) |
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