Ahmed Abodehmane | Le premier Saoudien à écrire en français ; son écriture s’inscrit dans la perpétuation de la tradition des joutes poétiques qui ont fait la renommée de cette contrée désertique. À travers lui revit le mythe “du marché de Oquaz” où les poètes venaient se surpasser et acquérir le prestige et la célébrité.
Biographie: Site dzlit.free
| Abodehmane Ahmed
La langue française vue d'ailleurs. Émission de Patrice Martin et Christophe Drevet, Radio Méditerranée
| Arabofrancophonie | Créé, dès 1983, par Stélio Farandjis lors de sa rencontre officielle avec le ministre de la Culture algérien M. Mezziane, le mot "Arabofrancophonie" reflète cette situation qui, dépassant la simple coexistence, implique un dialogue entre deux cultures : le monde arabe et le monde francophone.
| Libanvision | Arabofrancophonie | Le mot aurait été créé en 1983, par Stélio Farandjis : «Le terme Arabofrancophonie m'est venu à l'esprit dans le feu d'une conversation, il y a quelques années, avec Abdel-Magid Mezziane, ministre algérien de la Culture, à l'époque. Nous analysions la langue française et son étroite interpénétration, imbrication, chevauchement et coexistence, mélange et symbiose avec l'arabe, notamment en Algérie, exemple vivant du lien entre les deux langues, non seulement au niveau de l'enseignement mais, aussi, dans la vie courante.»
| El Tibi, Zeina, Entretien avec Stélio Farandjis, secrétaire général du Haut Conseil de la Francophonie, dans «La revue du Liban», 2001 | Hector Bianciotti | Il à étudier la langue française en confrontant quelques textes en prose de Paul Valéry à leur traduction espagnole. Il commençait à rédiger des rapports de lecture pour les éditions Gallimard. À la demande, son premier éditeur, il publiait un article dans La Quinzaine littéraire; d’autres allaient suivre et, trois ans plus tard, il devenait journaliste littéraire au Nouvel Observateur. Au bout d’une quinzaine d’années et de nombreux articles, il se mit à rêver en français. Entre-temps, il avait écrit quatre romans, une pièce de théâtre et un recueil de nouvelles, traduits en français par Françoise Rosset. À partir de 1982, très conscient des différences d’esprit entre les langues, il n’écrit plus qu’en français. Il devient membre du comité de lecture des éditions Grasset et Fasquelle. Il est en outre critique littéraire au journal Le Monde. Il a reçu le prix Médicis étranger, le prix du Meilleur livre étranger, ainsi que le prix Femina, pour son premier roman français. Le prix Prince Pierre de Monaco lui a été décerné pour l’ensemble de son œuvre, Il a été élu à l’Académie française, le 18 janvier 1996.
Biographie: site academie-francaise.fr
| Bianciotti Hector
La langue française vue d'ailleurs. Émission de Patrice Martin et Christophe Drevet, Radio Méditerranée.
|
|