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Aperçus divers |
La « fracture numérique » existe-t-elle ? | «La " fracture numérique " existe-t-elle ?», Éric Guichard, INRIA - ENS, 4 septembre 2003 (traduction française de l'article "Does the 'Digital Divide' Exist?", Amsterdam, 2003) Ce texte (...) commence par une analyse des discours relatifs à la notion de « fracture numérique » : quels que soient leurs auteurs (politiciens, experts du G8, militants), ces discours utilisent essentiellement deux ingrédients : le déterminisme technique et la confusion entre l'information et son support. Ensuite, on évalue la qualité et les fonctions des mesures de cette « fracture numérique » : celles-ci servent avant tout à légitimer a posteriori cette dernière, et à émettre des préjugés grossiers sur les nations et les sociétés à partir d'un seul indicateur, le pourcentage d'internautes de chaque pays. Enfin, on rappelle les potentialités de l'écriture numérique, et les connaissances requises pour en tirer parti. Celles-ci sont sans surprise liées aux formes traditionnelles de capital (économique, social, intellectuel). Par suite, les personnes qui profitent des capacités mentales offertes par l'informatique sont peu nombreuses. Derrière cette prétendue « fracture » et son remède (les investissements dans l'équipement), on découvre alors une profonde ségrégation cognitive consécutive à la diffusion des systèmes d'écriture numérique.
| Préfixe " e- " | Recommandation à propos de l'usage du préfixe " e- " et de ses équivalents possibles en français, Gabriel de Broglie de l'Académie française [Le préfixe] " e- " est un néologisme hybride entre lettre, mot et concept, porteur de difficultés de tous ordres. S'il est aisément employé en anglais, notamment pour des raisons phonétiques (voyelle longue et accentuée), il est difficilement identifiable en français. De plus la signification en est confuse et fluctuante, puisqu'il s'emploie pour désigner indifféremment tout ce qui est lié aux techniques de l'information et de la communication : technique, procédure, missions ou organismes.
Malgré leur facilité d'emploi, le préfixe " e- ", et a fortiori le suffixe " -é ", sont donc à écarter dans tous les cas pour les risques de confusion liés aux incertitudes de prononciation et surtout de sens qu'ils recèlent.
| Universités françaises - classement de l'Université de Shangaï | CERISIER-ben GUIGA , Monique, Blanc, Jacques, Rapport sur l'accueil des étudiants étrangers en France présenté au Sénat, lors de la séance du 30 juin 2005. «L'université de Shangaï publie chaque année le classement des 500 premières universités du monde. Cette année encore la place assignée aux universités françaises est bien peu satisfaisante : sur les cent premières, quatre seulement sont françaises : Paris VI (46ème), Paris IX (61ème), Strasbourg I (92ème) et l'Ecole Normale supérieure de la rue d'Ulm (93ème). Viennent ensuite le Collège de France, Grenoble I, Paris V, Paris VII et l'Ecole Polytechnique, relégués au-delà de la centième place. Seules 22 universités françaises sont classées parmi les 500 meilleures mondiales.
Par ailleurs, le rapport annuel sur l'éducation de l'OCDE souligne encore cette tendance en situant la France au 19ème rang sur 26 en matière d'enseignement supérieur (insistant particulièrement sur l'insuffisance des investissements consacrés à l'université).»
| Langue française et science politique | Monière, Denis, «Qui ose encore parler français? - La place du français au Congrès mondial de science politique», L'Action nationale, octobre 2003. Article reproduit sur le site du Mouvement estrien pour le français. Lors du congrès de 2003 de l'Association internationale de science politique, qui a inscrit dans ses statuts deux langues de communication, l'anglais et le français, «... les politologues de langue française ont eux mêmes déserté leur langue maternelle. Sur les 1 244 communications présentées, nous en avons recensé à peine 36 qui furent prononcées en français soit une proportion mirobolante de 2,9%.»
| Étudier au Canada | Immigrer.com « Ces guides réalisés par les universités québécoises et canadiennes et des autres organismes canadiens sont à l'intention des étudiants étrangers, des étudiants internationaux. À travers les divers liens et conseils judicieux, ils peuvent vous accompagner dans toutes les démarches de l'obtention du visa allant jusqu'à l'installation et l'intégration. »
| 1989 Un appel à la solidarité dans la recherche médicale | Appel à la solidarité dans la recherche médicale et le développement sanitaire, Bamako, 1989 En décembre 1989, des universitaires et chercheurs francophones dans le domaine de la médecine se réunissaient à Bamako, profitant de leur réunion pour lancer un appel à la solidarité dans la recherche médicale et le développement sanitaire. En voici des extraits:
«Aucun développement ne peut être escompté sans développement sanitaire; aucun espoir de développement sanitaire ne peut être envisagé sans développement de la recherche médicale, dans le monde en général et dans les pays en voie de développement; aucune maladie ou aucun problème de santé publique ne peut être considéré dans le monde d'aujourd'hui comme ne concernant qu'une fraction de l'humanité. L'amélioration de la santé du monde est indivisible, politiquement, économiquement, culturellement, techniquement et géographiquement.
L'espace scientifique francophone ne constitue pas une zone protégée, mais doit permettre par la mise en synergie de son potentiel une dynamique visant à la reconnaissance de son identité, en considération de ses réalisations passées, présentes, et de ses potentialités. [...]
La santé des pays en voie de développement ne peut être oubliée : l'aide internationale n'est pas un investissement à court terme, mais doit être un support de développement à moyen et long terme. »
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Documentation |
Livres | États généraux de la Francophonie scientifique. Actes des «États généraux de la Francophonie scientifique», Paris (France), 17 février 1995. AUF, 1995, 348 p. («Prospectives francophones»). (publication sur internet) (1995) | Assises francophones de la recherche. Actes des «Assises francophones de la recherche», Abidjan (Côte d'Ivoire), 1er et 2 décembre 1993. AUF, 1994, 362 p. («Prospectives francophones»). On peut télécharger l'ouvrage au format PDF. (publication en ligne) (1994) | Articles | Larbi Bouguerra, M., «Le français,vecteur de diffusion de la connaissance scientifique», dans : Assises de l'enseignement du et en français. Actes des «Assises de l'enseignement du et en français», Hué (Vietnam), 19-21 octobre 1997. Agence universitaire de la Francophonie, 1998, 548 p. («Prospectives francophones»). On peut télécharger ce texte au format PDF. (publication sur internet) (1998) | Actes de colloque | Le Français et les langues scientifiques de demain. Colloque organisé par l'Association francophone pour le savoir (ACFAS) du 19 au 21 mars 1996, à l'Université du Québec à Montréal, Montréal. On trouve en ligne le programme du colloque ainsi que les actes (format html et PDF). (diffusion sur internet) (1996) | Allocutions | Dr. Ksibi Ahmed (Institut Supérieur de Documentation de Tunis, Université de Manouba), « De la fracture numérique en Afrique à la fracture statistique » (document pdf), World Library and Information Congress, 14 au 18 août 2005, Oslo, Norvège
« Cet article critique les tendances à mesurer le progrès vers la société de l’information par des indices statistiques quantitatifs élaborés par les grandes organisations internationales du néolibéralisme qui se concentrent sur des indications sur les équipements d’informatique et de télécommunication. » (2005) | Sanou, Salaka, «De la diffusion de l’information scientifique dans les universités africaines francophonies : le cas de l’Université de Ouagadougou». Communication présentée dans le cadre du colloque « Développement durable : leçons et perspectives», Ouagadougou, 1er-4 juin 2004 (format PDF). (diffusion sur internet) (2004) | Entretiens | «Entretien avec Michel Serres de l’Académie française : "La langue avance comme un glacier"». Propos recueillis par Françoise Ploquin. Le français dans le monde, mai-juin 2004, n° 333. Résumé : «Philosophe, écrivain et historien des sciences, Michel Serres enseigne en France et à Stanford, aux États-Unis. Littéraire, latiniste, esthète, promoteur des nouvelles technologies et de la chaine télévisuelle du savoir (France 5), il observe ici le français des sciences, largement oublié par les linguistes.» (publication sur internet) | Revues | Si l'on en juge par le texte de présentation du numéro 0, cette nouvelle revue sera vivante et originale. Après avoir évoqué le fait que pour la critique postmoderne les plantes à racines sont le symbole d'une philosophie réactionnaires, tandis que les plantes à rhizome, qui courent à la surface du sol, seraient le symbole de l'avant-garde, Bernard Mouralis explique sa préférence pour la liane comme symbole de la façon dont la revue entend aborder les liens entre les diverses littératures africaines. «La plante à rhizome ne fait que produire des enracinements successifs, proprement indéracinables. [...]Rien de tel en revanche avec la liane, qui est une vraie nomade : elle s'élance vers le ciel, revient sur le sol quelques instants et décolle de nouveau pour un splendide essor. Il y a en elle quelque chose de l'avion. En outre, loin d'étouffer l'arbre, elle s'associe à lui, formant ainsi un immense réseau dans lequel, toujours, de nouvelles lignes seront ouvertes. [...]
En choisissant d'appeler cette revue « lianes », on a voulu mettre l'accent, non pas sur tel ou tel élément particulier, mais sur des intrications incessantes entre les différentes parties d'un tout trop souvent qualifié de « globalisé » -ce qui ne veut pas dire grand chose- et, surtout, sur des nouveaux départs que l'on peut observer dans les textes littéraires et dont la « liane », dans ses perpétuels essors, constitue une métaphore plus pertinente que le rhizome. (diffusion sur internet) (2006) |
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| | Réseaugraphie |
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Associations | Association des diatomistes de langue française | Regroupe des spécialistes de l'étude des diatomées. Les activités de cette association scientifique se déroulent en français. | Association de science régionale de langue française | «Une association forte de 200 membres appartenant à des organismes de recherche, à des établissements d'enseignement supérieur ou à des institutions publiques et provenant de Belgique, du Canada, de France, du Maghreb, de Suisse, d'autres pays européens, d'Amérique Latine... Un réseau de compétences interdisciplinaires : économie, géographie, aménagement, gestion, sciences politiques … pour analyser un objet complexe : l'espace.» | Groupement des protistologues de langue française | «Le Groupement des Protistologues de Langue Française réunit les chercheurs d'expression française qui étudient les PROTISTES (au sens le plus large) sous tous leurs aspects: structure et ultrastructure, systématique et phylogénie, biochimie, biologie moléculaire, génétique, médecine, importance dans les écosystèmes. Il accueille ainsi des scientifiques, des médecins, des pharmaciens, des vétérinaires, des paléontologistes, des biochimistes, des généticiens....
D'expression française, il regroupe les chercheurs concernés des Universités et organismes de recherche français. Sont également accueillis au sein du G.P.L.F. de nombreux chercheurs des pays européens voisins de la France (Espagne, Italie, Suisse, Belgique, Angleterre ... ), d'Europe Centrale et Orientale (République Tchèque, Roumanie, Pologne, Russie ... ) et de plusieurs pays africains (Tunisie, Sénégal, Cameroun, Bénin...)» (extrait du site) | Société francophone de transplantation | Association établie en France, qui se propose, entre autres buts : «d'étudier toutes questions ayant trait aux prélèvements, à la transplantation d'organes, à la greffe de tissus et de cellules : aspects médicaux, scientifiques, pédagogiques, éthiques et organisationnels; de promouvoir la recherche fondamentale et appliquée, en favorisant les contacts entre les équipes francophones et en apportant une aide matérielle aux jeunes chercheurs, (...) d'organiser des réunions scientifiques et éducationnelles dans les pays francophones,» (extraits des statuts) | Société de pneumologie de langue française | | Banque de données | Répertoire des chercheurs francophones de l'Agence universitaire de la Francophonie | «Cet outil recense d'une part, tous les universitaires (qu'ils soient enseignants, chercheurs, doctorants) et experts impliqués, ou souhaitant s'impliquer, dans les nombreuses actions des programmes de l'Agence concernant la langue française, diversité culturelle et linguistique; les aspects de l'État de droit et démocratie; l'environnement et le développement durable solidaire; le développement des politiques de promotion de l'excellence universitaire et le soutien des TICs au développement de l'enseignement supérieur et de la recherche, et d'autre part tous les chercheurs inscrits dans les 21 réseaux de chercheurs de l'Agence répartis dans 4 de ses programmes (...)» (site web du Répertoire) | Bibliothèques numériques | Classiques des sciences sociales | S'il existait un prix international récompensant le travail bénévole au profit de la francophonie, le titulaire de ce site, Jean-Marie Tremblay, le mériterait sûrement. Il a d'abord numérisé à l'intention de ses étudiants les grands classiques des sciences sociales appartenant au domaine public. Durkheim, Lebon, etc. Il eut ensuite la bonne idée de les offrir à tous les professeurs et étudiants de la francophonie via Internet. Son enthousiasme se communiqua rapidement à ses amis de Saguenay, ville située au pôle Nord de la francophonie, puis à l'ensemble des francophones. On commença à lui envoyer des livres numérisés. Un avocat français à la retraite lui offrit gratuitement ses services. Les Classiques des sciences sociales nous offrent aujourd'hui 2371 titres, en format Word et PDF. Il ne manque à ce site qu'une photo du musée personnel de Jean-Marie Tremblay: la section de son bureau où sont empilés les dizaines de numériseurs qu'il a utilisés...et brûlés. Généreux, il a accueilli les philosophes, les historiens et les sinologues dans sa bibliothèque: Bergson, Maine de Biran, Alain, , Michelet,, Marcel Granet., etc. | Organismes de la Francophonie | Institut de la francophonie pour la médecine tropicale | «L'IFMT a été créé en janvier 2000 par l'Agence Universitaire de la Francophonie en coopération avec le gouvernement de la RDP Lao. Il propose une formation de troisième cycle, en langue française, adaptée aux besoins de l'Asie du Sud-Est. (...) L'Institut accueille chaque année vingt médecins pour suivre une formation "post-doc" de deux ans en médecine tropicale. Outre cet enseignement, l'Institut forme ces praticiens aux méthodes de la recherche scientifique.» (extrait du site) | Organismes internationaux | IEPF - Institut de l'énergie et de l'environnement de la francophonie | Ce site, très riche, illustre bien l'importance du rôle que peuvent jouer les institutions de la francophonie pour favoriser la publication et la recherche en français dans un secteur de pointe. On y trouve, en accès libre, la revue Liaison Énergie-francophonie, le bulletin objectif Terre, les actes de plusieurs colloques scientifiques, des bases de données comme celles-ci: Atlas des experts en biomasse, Énergie dans le monde, Profils énergétiques, Atlas des décharges d'ordures ménagères. | Fondation Léopold Senghor | But de la fondation:
Sauvegarder, enrichir et diffuser le patrimoine culturel africain ;
Favoriser en Afrique le développement de l'Enseignement supérieur, de la Recherche et de la Culture ;
Coopérer avec les Institutions similaires ;
Contribuer notamment par le dialogue des cultures à l'instauration d'un climat de compréhension et de coopération internationale. | OIM (Organisation internationale pour les migrations) | L'une des meilleures sources de renseignement au monde sur les migrations et sur la traite des êtres humains. À propos de la traite en particulier, on y dit les choses telles qu'elles sont sans ménager les pouvoirs établis qu'ils soient religieux, politiques ou économiques. | Recherche | Association francophone pour le savoir (ACFAS) | «Cumulant plus de 80 années d'existence mais résolument tournée vers l'avenir, l'Acfas s'est donné comme mission de promouvoir l'activité scientifique, de stimuler la recherche et de diffuser le savoir.
Véritable plaque tournante de la recherche en français, l'Acfas contribue à la vitalité du milieu scientifique de plusieurs façons. Voici un aperçu de ses principales activités et de son rayonnement. (...)
Le congrès annuel, le plus important événement scientifique multidisciplinaire de la francophonie, regroupe jusqu'à 5 000 chercheurs de tous les continents. (...)
L'Association francophone pour le savoir - Acfas a son siège social à Montréal, mais elle est présente et active autant dans l'ensemble du Québec et du Canada que dans le reste du monde.
Le réseau canadien de l'Association est formé de sections régionales en Acadie, en Alberta, au Manitoba, en Outaouais, à Sudbury, à Vancouver et Toronto. Celles-ci organisent notamment des causeries pour les jeunes et des conférences, en plus de prendre part à des activités telles que les expo-sciences.
L'Acfas entretient également des liens très étroits avec la communauté scientifique francophone. Par exemple, de nombreux chercheurs français participent au congrès annuel.» (Qu'est-ce que l'Acfas ? - site de l'association) | Groupe d’études et de recherches pour le français langue internationale (GERFLINT) | «Le GERFLINT est un groupe international de recherche-action fondé en 1999 par quelques spécialistes de Didactologie des Langues et des Cultures regroupés autour de Jacques CORTES. Sa finalité est la défense de la recherche scientifique francophone (mais sans exclusive linguistique) par la mise en place d'un réseau mondial de diffusion se présentant essentiellement sous la forme de revues (une trentaine à ce jour) animées par des équipes locales en liaison avec un comité scientifique international. (...) Chaque revue est ouverte à l'ensemble des sciences de la communication et du langage. Sa vocation étant de promouvoir l'usage du français dans la communication scientifique internationale, elle publie essentiellement des articles dans cette langue mais sans exclusive. (...) Il est donc clair que la défense de la langue française n'est pas un repli sur des positions bloquées mais un appel au respect de la diversité linguistique et culturelle.» | Conférence internationale des responsables des universités et institutions à dominante scientifique et technique d’expression française (CIRUISEF) | La CIRUISEF "réunit, depuis 1988, des responsables, Doyens de Facultés, Présidents ou Recteurs d’Universités, dans le domaine scientifique et les pays du monde francophone. Elle constitue l’un des quatorze réseaux institutionnels de l’AUF, Agence universitaire de la Francophonie." Elle a pour but de "favoriser les échanges, la coopération et la solidarité entre les institutions scientifiques francophones d'enseignement supérieur du Nord et du Sud; contribuer à l’amélioration de la formation des étudiants et des enseignants dans les domaines des sciences exactes, naturelles et technologiques." (extrait du site)
| Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement (CIRAD) | Il s'agit de l'institut français de recherche agronomique au service du développement des pays du Sud et de l’outre-mer français. Créé en 1984, il emploie des chercheurs dans un quarantaine de pays. "Le Cirad a choisi le développement durable comme ligne de force de son action à travers le monde. Cette démarche prend en compte les conséquences écologiques, économiques et sociales, à long terme, des processus de transformation des sociétés et des territoires du Sud. Le Cirad intervient par des recherches et expérimentations, des actions de formation, d’information et d’innovation, et des expertises. Ses compétences relèvent des sciences du vivant, des sciences humaines et des sciences de l’ingénieur, appliquées à l’agriculture et l’alimentation, à la gestion des ressources naturelles et aux sociétés." Le Cirad oeuvre dans plusieurs pays de la francophonie, notamment sur le continent africain.
| Société francophone de thérapie cellulaire et génique (SFTCG) | Association «francophone pluridisciplinaire» établie à Paris qui a pour buts :
«de favoriser le développement des études sur la thérapie cellulaire et génique chez l'homme et chez l'animal; de promouvoir les échanges entre tous ceux qui s'intéressent ou sont impliqués dans la recherche et l'utilisation de ces approches, et de s'impliquer au niveau des formations dans ces domaines.» (extrait des statuts) L'association est dite «francophone» mais tous les membres des son bureau oeuvrent au sein d'institutions françaises. |
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