Dialogue des cultures | « Je rappellerai, par exemple, que les expressions comme "dialogue des cultures", "sauvegarde de la diversité des cultures", furent d'abord utilisées dans diverses OING francophones. J'évoquerai seulement, pour mémoire, la deuxième réunion de l'Assemblée générale de l'AUPELF, en avril 1963 à La Sorbonne, où une immense banderole proclamait: "Le français, facteur de rapprochement des peuples et de communion des civilisations". »
| Léger Jean-Marc, «L'ambition des pionniers de la Francophonie». Discours prononcé lors du colloque "Francophonie au pluriel", organisé à l'occasion de la célébration du dixième anniversaire de L'Année francophone internationale (Paris, du 17 au 20 mai 2001) | Diversité des cultures | « Je rappellerai, par exemple, que les expressions comme "dialogue des cultures", "sauvegarde de la diversité des cultures", furent d'abord utilisées dans diverses OING francophones. J'évoquerai seulement, pour mémoire, la deuxième réunion de l'Assemblée générale de l'AUPELF, en avril 1963 à La Sorbonne, où une immense banderole proclamait: "Le français, facteur de rapprochement des peuples et de communion des civilisations" ».
| Jean-Marc Léger, «L'ambition des pionniers de la Francophonie». Discours prononcé lors du colloque Francophonie au pluriel, organisé à l'occasion de la célébration du dixième anniversaire de L'Année francophone internationale (Paris, du 17 au 20 mai 2001). | Kourouma par lui-même | «Je suis d'ethnie malinké, de nationalité ivoirienne, donc négro-africain. La littérature de ma langue maternelle est orale. Ma culture de base est l'animisme. J'écris en français. La langue française est la seconde langue de mon pays, elle est officiellement ma langue nationale. Le français est une langue disciplinée, policée par l'écriture, la logique, dont le substrat est la chrétienté. Ma langue maternelle, la langue dans laquelle je conçois, n'a connu que la grande liberté de l'oralité ; elle est assise sur une culture de base animiste. Voilà en quels termes se pose pour moi la question de langue.»
| Kourouma, Ahmadou, « Écrire en français, penser dans sa langue maternelle », revue « Études françaises », vol. 33, no 1 : « Les écrivains-critiques : des agents doubles ? », printemps 1997, p.115 |
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