Campus numérique francophone de Bamako | ëPoints d'appui technologiques pour la communauté universitaire et scientifique du Sud, le âÂÂcampus numérique est établi au sein de l'université de Bamako membre de l'Agence universitaire de la Francophonie.û (extrait du site) | Campus numérique francophone de Rabat | Le CNF de Rabat est hébergé par l'Université Mohammed V - Agdal suite àun accord d'implantation entre le Gouvernement du Royaume du Maroc et l'Agence universitaire de la Francophonie.
C'est, ëàl'instar des autres Centres et des Campus numériques francophones installés dans d'autres pays, est un lieu d'accueil des chercheurs, des étudiants et de mise àleur disposition d'un ensemble de moyens et d'outils d'aide àla formation et àla recherche parmi ceux mentionnés ci-dessus. Par ailleurs, le Centre a pour mission la mise en Ã
Âuvre et le suivi de tous les programmes de l'AUF susceptibles d'intéresser la communauté scientifique et éducative au Maroc.û | Campus numérique francophone de Yaoundé | ëDéployé au Cameroun, au cÃ
Âur de l'Université de Yaoundé 1, le Campus Numérique Francophone de Yaoundé (CNFY) est une implantation locale de l'Agence universitaire de la Francophonie offrant une plate-forme technologique spécialisée dans l'ingénierie pédagogique et dédiée àla production et àla diffusion des savoirs et des informations par les TICE (...)û (extrait du site) | Cap-Vert | Auteur : Jacques Leclerc. Dossier publié sur le site L'aménagement linguistique dans le monde, Québec, TLFQ, Université Laval, 18 oct. 2005 (consulté le 19 février 2007). | Cap-Vert (Ministère des Affaires étrangères de France) | Page officielle du MAE de France. Une présentation générale du pays. Un survol des relations diplomatiques, économiques, culturelles, techniques, scienfifiques avec le Cap-Vert.
| Carnets d'adresses du réseau de coopération et d'action culturelle (Direction générale de la Coopération internationale et du Développement, M. A. E.) | Pour trouver rapidement les coordonnées des Alliances françaises, centres culturels et instituts français, instituts de recherche et services de coopération et d'action culturelle présents dans divers pays du monde. | Carrefour international de la Presse universitaire francophone (CIPUF) | Réseau de médias étudiants ayant le français en partage. ëIl est une initiative de jeunes francophones du Sud et du Nord ayant décidé de joindre leurs efforts pour rehausser la qualité de leur média en inscrivant leur travail dans la société de l'information et dans l'espace francophone. Le CIPUF réunit plus de 100 journaux et radios répartis dans 25 pays et ÃÂtats membres de la Francophonie, ce qui représente 1800 journalistes et un tirage de plus de 2 millions 65 mille exemplaires par année. Il s'agit du plus grand réseau de médias jeunesse au monde.û | Centre africain de perfectionnement des journalistes et communicateurs (CAPJC) | Il s'agit d'un ëétablissement public àcaractère administratif (EPA) sous tutelle du Ministère de la Communication et des Relations avec la Chambre des Députés et la Chambre des Représentantsû de Tunisie. Depuis 1991, ëet au terme d'un protocole d'accord entre la Tunisie et l'Agence intergouvernementale de la Francophonie, le Centre abrite les activités de formation permanente dans les métiers du livre du programme CAFED (Centre Africain de Formation àl'Edition et la Diffusion). Ce programme est administré conjointement avec l'ATCT (Agence Tunisienne de Coopération Technique) qui en gère les aspects financiers. Au plan des relations extérieures, le Centre est membre fondateur du Réseau Théophraste des Centres Francophones de Formation au Journalisme (siège Lille : France) et de JourNet, le réseau mondial des écoles de journalisme sous l'égide de l'UNESCO.û (extraits du site) | Centre culturel français Albert Camus | ÃÂtabli dans les années 1960 àAntananarivo, service extérieur de l'Etat français rattaché au ministère des Affaires étrangères, localement, le Centre culturel français Albert Camus est placé, comme les autres centres du même genre,sous l'autorité du conseiller chef du service de coopération et d'action culturelle de l'Ambassade de France. Sa mission essentielle est de renforcer la présence culturelle de la France, sa langue, ses créations culturelles, son savoir-faire dans le pays. Le CCAC entend être ëun lieu d'échanges et de dialogues entres les cultures du Nord et du Sudû. C'est aussi une ëvitrine de la présence hexagonaleû, qui ëdoit favoriser l'accueil des manifestations culturelles tant nationales que françaises, francophones ou européennes, de qualité, participer àdes co-productions particulièrement avec les institutions culturelles de l'Océan Indien, relayant des projets pertinents en s'efforçant de les mettre en réseau.û Enfin, c'est le ëposte coordonnateur régional de la zone Afrique de l'est, Afrique australe et Océan Indien. A ce titre, il centralise et gère les moyens financiers affectés annuellement àcette zone par le MAE et par l'AFAA (Association Française d'Action Artistique), pour le compte des 24 pays concernés.û (extrait du site) | Centre culturel français Antoine de Saint-Exupéry | ÃÂtabli àNouakchott. |
Centre culturel français Arthur Rimbaud | ëInstrument par excellence de l'action culturelle extérieure de la France le Centre culturel français Arthur Rimbaud est, en République de Djibouti, un opérateur de la politique culturelle de l'ambassade de France dans les domaines du livre, de la lecture publique, de la littérature francophone et française comme dans les domaines de la diffusion culturelle en général (théâtre, danse, musique). Venant en appui aux projets de coopération il soutient les initiatives des créateurs locaux djiboutiens et participe àla valorisation des cultures nationales.û (extrait du site) | Centre culturel français Charles Baudelaire | "Le Centre Charles Baudelaire assure une politique culturelle activeàen organisant une cinquantaine de manifestations chaque année et contribue, en liaison étroite et de manière complémentaire avec l'Alliance Française, au développement culturel mauricien. Organisé autour de sa médiathèque il est devenu aujourd'hui un Centre d'échanges et de communication culturel entre la France, les pays francophones et l'île Maurice répondant aux besoinsàd'une population mauricienne francophone de plus en plus curieuse de culture française." (extrait du site) Le centre existe depuis 1968. | Centre culturel français de Bamako | Le centre ëappartient au réseau des établissements culturels français relevant du Ministère des Affaires Etrangères, en Afrique et dans le monde. Instrument de culture et de coopération, il obéit àune double vocation : la mise en valeur de la culture française et européenne au travers de ses productions (arts visuels, cinéma, spectacles vivants, mais aussi livres et nouvelles techniques de communication), et de ses acteurs (artistes en résidence, conférenciers, formateurs); la mise en valeur du Mali et en France des formes artistiques et culturelles maliennes par une aide àl'expression artistiques et intellectuelle, et àla professionnalisation des opérateurs culturels.û (extrait du site) | Centre culturel français de Doha | Créé en 1999, ce centre ëassure la diffusion de la langue française, la diffusion culturelle et artistique et est aussi un centre de documentation (médiathèque) et de ressources sur la Franceû. (extrait du site) | Centre culturel français de Praia | ëCréé en 1982, le Centre Culturel Français participe àla diffusion de la langue et de la culture française, assure la promotion des productions culturelles françaises (diffusion et consultation de livres, périodiques, films, organisation d'expositions, de concerts, de pièce de théâtre...) et apporte son appui aux manifestations nationales.û (extrait du site de l'Ambassade de France au Cap-Vert) | Centre culturel français et de coopération linguistique de Skopje | ëOuvert le 1er avril 1974, le Centre Culturel Français et de Coopération Linguistique est la plus ancienne institution culturelle étrangère actuellement en activité en Macédoine.û Diffusion et promotion de la culture et de la langue française dans le pays. | Centre culturel français Georges Méliès | ëCréé en 1963, le Centre culturel français est une des premières structures culturelles installées au Burkina Faso. Antérieurement dénommé "centre culturel franco-voltaïque" (le pays s'appelait Haute Volta), il prend en 1985 le nom de centre culturel français Georges Méliès pour saluer la mémoire d'un des génies du cinéma français, l'inventeur du trucage. Le CCF est installé àOuagadougou. Cette ville s'est imposée comme la capitale du cinéma africain, par l'organisation du Festival Panafricain du Cinéma et de la Télévision de Ouagadougou (FESPACO) (...) Au travers de supports que sont le livre, les arts du spectacle vivant, le cinéma, les conférences, les arts plastiques, la photo, dans leur forme classique ou contemporaine, le CCF remplit ses missions de diffusion de la culture française, de promotion des cultures nationales (Burkinabè) et du développement des échanges culturels dans l'espace de la francophonie.û (extrait du site) | Centre culturel français Romain Gary | Officiellement inauguré en 2000 àJérusalem, il ëa pour mission la promotion de la langue française et de la culture francophone.àCette vocation se traduit par la programmation d'activités culturelles très diversifiées, par l'organisation de cours de français et par la mise àdisposition d'une médiathèque #8211 centre d'information.û (extrait du site) | Centre culturel franco-mozambicain de Maputo | Inauguréàen 1995, leàCCFM est ëest une des rares institutions culturelles françaises en Afrique a avoir un statut bi-national. Le conseil d'administration est présidé alternativement par le Ministre de la Culture mozambicain et par l'Ambassadeur de France. En tant quâÂÂorgane de ces deux institutions, le CCFM a pour double vocation de servir de lien avec le monde francophone, en particulier africain, de stimuler les échanges régionaux et d'opérer comme un outil de développement culturel pour le pays en soutenant le lancement dâÂÂartistes mozambicains, en les ouvrant àde nouvelles influences et en les intégrant àdes réseaux professionnels.û (extrait du site)
| Centre d'études et de recherches scientifiques de Djibouti | ëLe CERD est un établissement public àcaractère administratif. Il dispose de la personnalité juridique et de l'autonomie financière et administrative. Il est rattaché au ministère des Affaires Présidentielles et de la Promotion des Investissements. Restructuré en novembre 2001, docteur Jalludin Mohamed assure la direction du Centre d'Etude et des recherches de Djibouti avec ces cinq (5) Instituts spécialisés dans les recherches de haut niveau axée sur les différents aspects de la pensée scientifique (...)û Le site est en français. |
Centre de coopération interuniversitaire franco-québécoise | Le CCIFQ fut établi en 1984 par la Commission permanente de coopération franco-québécoise. ëSa mission essentielle est d'animer, de promouvoir et de valoriser la coopération interuniversitaire entre la France et le Québec. Ses buts sont les suivants : promouvoir des enseignements et des programmes de recherche conduits en commun par des universitaires français et québécois pour l'ensemble des disciplines offertes dans les établissements d'enseignement supérieur; susciter et faciliter la mobilité professorale et étudiante; favoriser le développement des connaissances sur le Québec en France et sur la France au Québec; constituer un lieu de rencontres et d'échanges pour les acteurs de la coopération universitaire; promouvoir la diffusion des recherches scientifiques.û (extrait du site) | Centre de recherche en civilisation canadienne-française | Ce site nous renseigne sur les publications du Centre de recherche en civilisation canadienne française. Ces publications ne sont malheureusement pas offertes en format numérique. Par contre, la section FrancoSources du site, propose un large choix de sites sur la francophonie canadienne hors Québec. | Centre de recherche sur l'espace francophone (CREF) | Centre de recherche rattaché au département d'études françaises de l'Université du Nouveau-Brunswick.
ëConsacrés àl'analyse de l'espace francophone, zone de contact complexe et diversifiée, les travaux du CREF réunissent une pluralité d'approches théoriques et de méthodologies pertinentes aux études françaises. Le CREF, composé de chercheurs en littérature et en linguistique, cherche àstimuler l'essor de résultats inédits du fait de la confluence méthodologique qu'il privilégie. L'accent est mis sur la francophonie canadienne et ses manifestations acadiennes, québécoises et ontariennes. D'autres aspects de la recherche active retiennent aussi l'attention de ses membres, tels les notions-clés de postcolonialisme et d'écriture au féminin ; des problématiques touchant, par exemple, les interactions francophonie-anglophonie ou les variétés sociales et régionales d'usage du français, de même que certains champs généraux d'activité, comme la littérature française et comparée, les littératures africaine, antillaise et maghrébine et la linguistique. L'objectif permanent du CREF est de contribuer àl'avancement des études sur le monde francophone, ainsi que d'élargir et de renouveler, par l'intermédiaire d'approches mixtes et d'un souci de transdisciplinarité, les connaissances du fait linguistique, littéraire et culturel francophone. Le CREF souhaite ainsi établir des infrastructures capables de dynamiser et d'étendre le champ d'activité de l'UNB dans le réseau des universités canadiennes, francophones et internationales.û | Centre Franco-Américain | ëLe Centre Franco-Américain a été créé en décembre 1990 en tant qu'organisme culturel àbut ànon-lucratif dans l'état du New Hampshire.
La mission du Centre Franco-Américain est de préserver le riche héritage de la communauté àfrancophone d'Amérique du nord.
Nous promouvons l'histoire, la culture et l'éduction avec une compréhension et une connaissance de l'histoire, de la culture et de l'expression artistique de la communauté dans le passé et au présent.
Le Centre Franco-Américain àManchester dans le New Hampshire est reconnu comme le principal catalyseur pour impliquer cette communauté àcélébrer la richesse de l'expérience Franco-américaine, àrassembler toutes les personnes d'héritage Français.
Le Centre présente une large variété de programmes culturels tel que des expositions qui divertiront, informeront et surprendront le public.û
La page principale du site est en anglais. | Centre francophone d'informatisation des organisations | ë Le CEFRIO (Centre francophone d'informatisation des organisations) est un centre de liaison et de transfert qui regroupe près de 160 membres universitaires, industriels et gouvernementaux ainsi que 51 chercheurs associés et invités. Sa mission : aider les organisations àêtre plus productives et àcontribuer au bien-être des citoyens en utilisant les technologies de l'information comme levier de transformation et d'innovation. En partenariat, le CEFRIO réalise partout au Québec des projets de recherche, d'expérimentation et de veille stratégique sur l'appropriation des TI. Ces projets touchent l'ensemble des secteurs de l'économie québécoise tant privé que public. Les activités du CEFRIO sont financées en majeure partie par ses membres et par le gouvernement du Québec, son principal partenaire financier.û (source : site web du CEFRIO) | Centre sur les politiques internationales des TIC Afrique du Centre et de l'Ouest (CIPACO) | ëLe CIPACO est mis en place afin de renforcer les capacités des acteurs pour une meilleure participation àla prise de décision internationale en matière de TIC.û
ëDeux éléments essentiels de la stratégie du CIPACO sont : le renforcement et lâÂÂharmonisation des initiatives régionales et le renforcement des capacités.û | Centres culturels français en Roumanie (Institut français de Bucarest) | Situés àTimisoara, Iasi et Cluj. | Cerium (Centre international d'études et de recherches de l'Université de Montréal) | Lors de sa visite au Québec, en septembre 2007, Ségolène Royal, présidente du parti socialiste français, prononça, le 19 septembre, une conférence devant 750 étudiants de l'Université de Montréal. Elle y aborda divers sujets de l'heure: la diversité culturelle, le Sommet de 2008 àQuébec, et une université francophone ayant des antennes dans les grandes capitales de la Francophonie. ëContrairement àce que pensent certaines élites, a-t-elle, précisé, la Francophonie n'est pas dépassée.
ëIl nous faut créer, et je souhaite, je le redis ici solennellement, que le sommet francophone dâÂÂoctobre 2008 àQuébec débouche sur des actions concrètes. Par exemple :
une université francophone avec des antennes dans les grandes capitales de la francophonie, du nord au sud et dâÂÂest en ouest ;
un ÃÂrasme francophone qui faciliterait entre nos pays la circulation des étudiants ;
que les grandes entreprises francophones mondialisées soient sensibilisées non seulement aux enjeux, mais aux atouts compétitifs dâÂÂune francophonie assumée ;
et enfin la définition dâÂÂun contrat politique commun, du nord au sud et dâÂÂest en ouest, pour protéger lâÂÂenvironnement et les cultures, câÂÂest-à-dire lâÂÂavenir tout simplement du vivant.û
| Chisinau 2012 : lâÂÂavenir francophone ! (Moldavie.fr) | La République de Moldavie s'est portée candidate, en 2005, àl'organisation du Sommet de 2012. |
|